Ministère de la Culture / La nouvelle maîtresse des lieux prend les nouvelles du terrain
- Publié le 23, avr 2021
- ARTS - CULTURE & DIVERTISSEMENT
Harlette Badou N’Guessan Kouamé, ministre de la Culture de l’Industrie des Arts et du Spectacle depuis le mardi 6 avril 2021 s’est installée. Et c’est dans l’objectif de mieux cerner les contours de son portefeuille ministériel qu’elle s’est donnée une mission de visite de terrain durant trois jours.
L’orientation est claire pour la nouvelle ministre de la Culture de l’Industrie des Arts et du Spectacle, Harlette Badou N’Guessan Kouamé, il faut se faire une idée nette et claire de la vie des structures sous sa tutelle pour espérer réussir son pari. C’est donc à cet exercice qu’elle s’est livrée trois jours durant, du mercredi 14 au vendredi 16 avril 2021.
De l’Office National du Cinéma de Côte d'Ivoire (ONAC-CI) à l’Institut National Supérieur des Arts et de l'Action Culturelle (INSAAC) en passant par l’Office Ivoirien du Patrimoine Culturel (OIPC), le Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur (BURIDA), et le palais de la Culture à Abidjan-Treichville, Harlette Badou N’Guessan Kouamé n’a pas voulu laisser de zone d’ombre. C’est une tournée qu’elle a mis à profit pour s’imprégner des réalités de ces structures désormais sous sa tutelle, non sans expliquer la mission qui lui a été assignée par le chef de l’Etat, en la nommant le mardi 6 avril 2021.
« Le président de la République, nous a mis en mission, le point d’honneur que nous avons dans notre feuille de route est de veiller à ce que toutes les structures qui concourent à l’essor des arts et du spectacle puissent être mises en valeur, de sorte à former la vitrine de la Côte d’Ivoire que sont nos créateurs artistiques », a-t-elle dit.
Sur sa lancée, elle n’a pas manqué de rassurer en ces termes : « J'ai foi en la contribution de l’art et la culture à la croissance économique de la Côte d’Ivoire. Avec le concours de tous les collaborateurs, nous arriverons à atteindre l’objectif à nous assigné par le président de la République » ; Exprimant ainsi sa conviction en ce que le domaine des arts et de la culture sera d’une contribution indéniable dans le développement multiforme de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi profitant de ce point de situation et de terrain, elle a invité les différents responsables de ces structures à envisager des solutions pour la revalorisation de la culture ivoirienne.
Raphael Okaingni